Vous avez probablement entendu des gens dire que lorsqu’il s’agit d’investir dans l’immobilier, il faut « commencer le plus jeune possible ».
Bien que cela soit vrai pour la plupart des choses de la vie, le fait est qu’il n’est jamais trop tard – ou trop tôt – pour investir dans l’immobilier. Cependant, avant d’investir, il est important de comprendre les différentes façons d’investir en fonction de votre âge, de votre potentiel de gain et de votre valeur nette :
Stratégie d’investissement
Il existe selon les agents immobilière qui aides les propriétaire de Lyon a vendre leur terrain, trois grandes stratégies d’investissement immobilier parmi lesquelles vous pouvez choisir. Certains investisseurs n’en utilisent qu’une seule, tandis que d’autres la combinent en fonction des opportunités uniques des différents marchés immobiliers :
- L’immobilier de base est un bien récent ne nécessitant aucune réparation, avec un rendement global plus faible en échange d’un niveau de risque plus faible.
- L’immobilier à valeur ajoutée est souvent considéré comme le point idéal de l’immobilier d’investissement car il présente un mélange équilibré de risque et de récompense.
- L’immobilier opportuniste est la stratégie préférée des investisseurs qui réparent et retournent ou développent des biens à partir de zéro, avec un niveau élevé de rendement potentiel accompagné d’un niveau de risque très élevé.
Catégories de biens immobiliers d’investissement
- L’immobilier de catégorie A est un bien immobilier construit au cours des dernières années et qui offre généralement plus d’appréciation que de flux de trésorerie.
- L’immobilier de classe B comprend des logements de travailleurs loués à des fonctionnaires et à des employés des services, générant un solide cash-flow et une appréciation moyenne.
- L’immobilier de classe C comprend les biens locatifs « vache à lait » qui génèrent d’importants cash-flows mais une très faible appréciation.
L’âge de l’investisseur
En règle générale, plus vous êtes jeune, plus vous pouvez prendre de risques. En effet, vous disposez de plus de temps pour vous remettre d’éventuelles erreurs et pour attendre des rendements futurs potentiels. Mais à mesure que vous vieillissez, vos objectifs d’investissement changent. Plus vous êtes âgé, plus vous avez d’actifs, et plus vous devenez averse au risque.
Par exemple, les investisseurs millénaires dans la trentaine peuvent opter pour une stratégie d’investissement opportuniste mélangée à de l’immobilier locatif de catégorie A. La première option génère des flux de trésorerie réguliers, tandis que l’immobilier locatif plus récent est un moyen d’investir en vue d’une appréciation à long terme.
D’autre part, les baby-boomers dans la cinquantaine peuvent décider de placer une partie de l’épargne-retraite qu’ils ont accumulée dans un IRA autogéré pour investir dans l’immobilier.
Il n’y a pas de limite au transfert initial, et les flux de trésorerie générés par les biens immobiliers de catégorie C et B ne sont pas imposés en tant que revenu avant le début des retraits normaux de l’IRA. L’ajout de biens immobiliers de catégorie A est également un bon moyen de préserver le capital.
Valeur nette
Les particuliers fortunés accrédités (HNWI) de tout âge choisissent souvent l’immobilier pour diversifier leurs actifs et mettre leurs revenus à l’abri. Bien que tout investisseur puisse bénéficier des avantages fiscaux liés à la possession d’un bien immobilier productif de revenus, plus votre valeur nette est élevée, plus vous devez protéger votre capital de l’impôt.
- L’immobilier est un investissement alternatif reconnu
- Couverture contre l’inflation grâce au rendement, à l’effet de levier et aux gains en capital.
- Rendements stables avec une croissance modeste du capital
- Faible corrélation avec le marché boursier général
- L’immobilier résidentiel à revenu se comporte bien dans tous les cycles économiques.
- Un actif réel qui peut être vu et touché
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